Montpellier, l'habitué des exploits en Ligue des champions

Montpellier sera au pied d'un grand mur blanc, ce jeudi soir à la mythique Wunderino Arena de Kiel. Onze mille furieux vont tenter de faire dérailler les Héraultais de la voie royale qu'ils ont ouverte vers le Final Four de Cologne (8-9 juin) en s'imposant largement au match aller (39-30).

Valentin Porte se heurte au demi-centre de Kiel, Domagoj Duvnjak, lors du quart de finale aller, le 24 avril (39-30). (E. Garnier/L'Équipe)
Valentin Porte se heurte au demi-centre de Kiel, Domagoj Duvnjak, lors du quart de finale aller, le 24 avril (39-30). (E. Garnier/L'Équipe)
Valentin Porte se heurte au demi-centre de Kiel, Domagoj Duvnjak, lors du quart de finale aller, le 24 avril (39-30). (E. Garnier/L'Équipe)

Montpellier, l'habitué des exploits en Ligue des champions

Montpellier sera au pied d'un grand mur blanc, ce jeudi soir à la mythique Wunderino Arena de Kiel. Onze mille furieux vont tenter de faire dérailler les Héraultais de la voie royale qu'ils ont ouverte vers le Final Four de Cologne (8-9 juin) en s'imposant largement au match aller (39-30).

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« On a vraiment besoin d'un miracle, annonce le pivot des champions d'Allemagne, Patrick Wiencek. Je suis convaincu qu'avec nos supporters, on peut le faire. » Sauf que son équipe va se frotter à un spécialiste mondial en la matière. De Pampelune en finale en 2003 (19-27 à l'aller, 31-19 au retour) au Palau Blaugrana de Barcelone en phase de groupes en mars dernier (34-37), Montpellier a fait de l'exploit une jolie routine. La petite musique qui résonne avant le coup d'envoi de la Ligue des champions est un catalyseur d'émotions fortes. Les Montpelliérains, anciens grands maîtres de l'Hexagone aujourd'hui dans l'ombre du PSG, y sont accros depuis des décennies : 23 campagnes, à la clé les deux seules couronnes européennes du handball français (2003, 2018).

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