Rebondissements et suspense, l'édition du centenaire des 24 heures du Mans a tenu toutes ses promesses

La Ferrari de l'équipage Pier Guidi-Calado-Giovinazzi a remporté l'édition du centenaire en faisant craquer en toute fin de course Toyota, le quintuple tenant du titre qui la chassait depuis l'aube.

La Ferrari 499P n°51 s'est imposée 58 ans après la dernière victoire de l'écurie italienne. (S. Mantey/L'Équipe)
La Ferrari 499P n°51 s'est imposée 58 ans après la dernière victoire de l'écurie italienne. (S. Mantey/L'Équipe)
La Ferrari 499P n°51 s'est imposée 58 ans après la dernière victoire de l'écurie italienne. (S. Mantey/L'Équipe)

Rebondissements et suspense, l'édition du centenaire des 24 heures du Mans a tenu toutes ses promesses

La Ferrari de l'équipage Pier Guidi-Calado-Giovinazzi a remporté l'édition du centenaire en faisant craquer en toute fin de course Toyota, le quintuple tenant du titre qui la chassait depuis l'aube.

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LeBron James aurait dû rester. Forcément friand des grands shows à l'américaine, le basketteur aurait sûrement apprécié le spectacle grandiose offert par cette 91e édition des 24 heures du Mans. La superstar, qui a quitté la Sarthe peu après en avoir donné le départ samedi, aura du mal à vivre un tel équivalent sur le sol américain pour compenser.

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