L'heure de l'exploit pour Villeneuve-d'Ascq en finale de l'Euroligue face à Fenerbahçe

Villeneuve-d'Ascq a replacé la France au premier plan continental en disputant ce dimanche soir la finale d'Euroligue face à Fenerbahçe (18 heures). Une parenthèse enchantée pour le club du Nord. Pour le basket français également, trop peu fidèle au rendez-vous.

Kamiah Smalls lors de la demie face à Prague ce vendredi (84-78). (A. Gocher/Icon Sport)
Kamiah Smalls lors de la demie face à Prague ce vendredi (84-78). (A. Gocher/Icon Sport)
Kamiah Smalls lors de la demie face à Prague ce vendredi (84-78). (A. Gocher/Icon Sport)

L'heure de l'exploit pour Villeneuve-d'Ascq en finale de l'Euroligue face à Fenerbahçe

Villeneuve-d'Ascq a replacé la France au premier plan continental en disputant ce dimanche soir la finale d'Euroligue face à Fenerbahçe (18 heures). Une parenthèse enchantée pour le club du Nord. Pour le basket français également, trop peu fidèle au rendez-vous.

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Voilà quatre jours que Rachid Meziane, entraîneur de Villeneuve-d'Ascq, ne cesse de verser dans les métaphores façon sherpa, à jouer les guides de haute montagne pour son équipe qui vendredi soir s'est érigée en nouveau mont Blanc du basket français avec cette qualification pour la finale d'Euroligue. Du jamais vu pour un club tricolore depuis 2004 et Valenciennes. Une prouesse que le technicien n'a pas appréciée si longtemps puisque dès le soir de la demi-finale remportée contre Prague (84-78) il pointait déjà en direction du nouveau géant à gravir : « L'Everest Fenerbahçe. »

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