Les illusions perdues de l'Union Bordeaux-Bègles, sortie par les Harlequins après un match d'anthologie

Absents des débats avant de réagir avec panache, les Bordelais ont échoué à un point du dernier carré de la Coupe des champions. La tristesse l'emporte au terme d'un quart d'anthologie.

Le désarroi des Bordelais, battus par les Harlequins en quarts de finale de la Coupe des champions. (A. Réau/L'Equipe)
Le désarroi des Bordelais, battus par les Harlequins en quarts de finale de la Coupe des champions. (A. Réau/L'Equipe)
Le désarroi des Bordelais, battus par les Harlequins en quarts de finale de la Coupe des champions. (A. Réau/L'Equipe)

Les illusions perdues de l'Union Bordeaux-Bègles, sortie par les Harlequins après un match d'anthologie

Absents des débats avant de réagir avec panache, les Bordelais ont échoué à un point du dernier carré de la Coupe des champions. La tristesse l'emporte au terme d'un quart d'anthologie.

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Et aux portes de l'irrationnel, l'UBB s'est vu refuser l'entrée. Ramenée à son statut de simple prétendante aux cimes. Il lui manque encore le tampon VIP sur son pass pour intégrer le gotha international. Pour tout amoureux de jeu, c'est cruel, terrible même, car cette équipe a une nouvelle fois montré l'irrésistible machine en mouvement qu'elle sait être. Mais le sort de ce quart de finale est aussi un peu juste, d'une certaine façon. Parce que le rugby n'est pas qu'une histoire de libellule, demandez aux derniers doubles champions du monde sud-africains. Et samedi, les Bordelais ont été trop absents dans la zone d'affrontement, là où les corps s'entrelacent sans amour et où l'air vient vite à manquer.

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