Coupe du monde 2019 : toujours invaincue, l'équipe de France n'est pourtant pas convaincante

Même entame tonitruante, mêmes errements, même résultat étriqué, la troisième victoire de l'équipe de France, synonyme de qualification en quarts, ne rassure guère, avant d'affronter samedi l'Angleterre dans le choc de la Poule C.

Antoine Dupont (ballon en main) durement plaqué par le troisième-ligne Tonguien Nasi Manu, dimanche lors de la victoire des Bleus (23-21). (A. Mounic/L'Equipe)
Antoine Dupont (ballon en main) durement plaqué par le troisième-ligne Tonguien Nasi Manu, dimanche lors de la victoire des Bleus (23-21). (A. Mounic/L'Equipe)
Antoine Dupont (ballon en main) durement plaqué par le troisième-ligne Tonguien Nasi Manu, dimanche lors de la victoire des Bleus (23-21). (A. Mounic/L'Equipe)

Coupe du monde 2019 : toujours invaincue, l'équipe de France n'est pourtant pas convaincante

Même entame tonitruante, mêmes errements, même résultat étriqué, la troisième victoire de l'équipe de France, synonyme de qualification en quarts, ne rassure guère, avant d'affronter samedi l'Angleterre dans le choc de la Poule C.

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Et au coup de sifflet final, les Japonais, qui sont des hôtes exquis quoique plus réfractaires encore que les Français aux langues étrangères, ont diffusé l'immortel Ça plane pour moi de Plastic Bertrand en l'honneur des Bleus. Alors, disons tout de suite que, si ça continue de planer pour l'équipe de France, ça ne vole toujours pas très haut. Et soit Jacques Brunel fredonne sous sa méphistophélique bacchante l'infernale rengaine d'un jeu de maillots musicaux destiné à donner le vertige à son homologue anglais Eddie Jones, soit le crash n'est plus très loin. C'est que les Bleus semblent avoir inventé un nouveau concept de domination absolue, celle qui se limite au début de commencement d'entame de première mi-temps ! Dans le genre, ils sont réglés comme des horloges.

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