Sur la terre turque, Sébastien Ogier savait qu'il n'avait pas le droit à l'erreur, faute de voir sa quête d'un septième titre remisée aux calendes... grecques. Il savait aussi que, des quatre manches encore à courir (*), c'était celle de tous les possibles. « Quand on aborde un rallye comme celui-ci, on se doit de toujours croire en nos chances », avait-il lancé mercredi, à la veille de la super-spéciale d'ouverture.