Mais où va Levy ?

Un nouveau coach, un swing en plein chantier et des cuts ratés. En engageant Sean Foley cet hiver, Alexander Levy a tout bouleversé en 2019. Pour mieux progresser ?

Auteur d'un 73 encourageant à Portrush jeudi, Alexander Levy attend encore le déclic validant son nouveau swing.  ( - ) Francois Nel Getty Images/AFP
Auteur d'un 73 encourageant à Portrush jeudi, Alexander Levy attend encore le déclic validant son nouveau swing.  ( - ) Francois Nel Getty Images/AFP
Auteur d'un 73 encourageant à Portrush jeudi, Alexander Levy attend encore le déclic validant son nouveau swing. ( - ) Francois Nel Getty Images/AFP

Mais où va Levy ?

Un nouveau coach, un swing en plein chantier et des cuts ratés. En engageant Sean Foley cet hiver, Alexander Levy a tout bouleversé en 2019. Pour mieux progresser ?

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Reculer pour mieux sauter, voilà le pari d'Alexander Levy en 2019. Ou plutôt, tout péter ou presque pour exploser le plafond du top 30 mondial et s'y installer dans la durée. D'autres l'ont fait avant lui, parfois pour le meilleur comme Tiger Woods à trois reprises, ou pour frôler le pire, tel Martin Kaymer passé de la première place mondiale aux seconds rôles en tentant d'ajouter du draw à sa cartouchière. En virant l'hiver dernier son coach à moustache Pete Cowen pour le gominé Sean Foley, le Français a pris lui aussi ce risque. Un changement de mécanique total et des sensations à rebâtir, alors que sa saison n'avait pas si mal démarrée en Arabie Saoudite (5e). Après deux mois de blessure au dos suivront huit cuts ratés, des interrogations, un peu de rage et un 148e Open britannique arrivant au beau milieu de ce «rebootage» technique. Alors, où va donc le triple numéro un national ?

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