« Est-ce la déception qui prime après ce match nul, alors que vous meniez au score ?
Oui bien sûr, parce qu'on n'avait fait le plus dur peut-être en marquant ce but dans les dernières minutes mais on s'est encore fait piéger sur un coup de pied arrêté.
La satisfaction, c'est que vous marquez sur votre premier ballon touché.
Antoine (Griezmann) a très bien frappé le corner, il fallait être à la bonne place au bon moment. C'était un coup de tête rageur.
« Il y a eu le match dans les tribunes aussi. Nos supporters ont fait honneur »
Allez-vous envoyer des vidéos de vos buts à Frank Lampard (son entraîneur à Chelsea) ?
(Sourire) Non, non. Il doit sûrement voir les matches. En tout cas, je rentre à Chelsea regonflé à bloc.
L'équipe de France est-elle une bouffée d'oxygène pour vous en ce moment ?
Pour le coup, oui. Pour diverses raisons, j'ai eu peu de temps depuis le dernier rassemblement. Évidemment que ça fait du bien d'être décisif.
Comment avez-vous trouvé l'ambiance ? C'est le sport qui l'a emporté sur la politique ?
Exactement. Il y a eu le match dans les tribunes aussi. Nos supporters ont fait honneur, parce qu'on connaît la ferveur qu'il y a dans les tribunes autour de cette équipe turque. Encore une fois, les Français ont été présents. Ça a été un beau match. »