Paris-Tours, une course toujours en quête d'identité

Pour sa deuxième année avec un final à travers des chemins de vignes, le légendaire Paris-Tours a toujours du mal à trouver ses adeptes. Il faudra se montrer patient pour fidéliser le public.

Le futur vainqueur, le Belge Jelle Wallays, mène grand train dans le final de l'épreuve sur l'un des neuf chemins de vigne du tracé.  (F.Faugere/L'Equipe)
Le futur vainqueur, le Belge Jelle Wallays, mène grand train dans le final de l'épreuve sur l'un des neuf chemins de vigne du tracé.  (F.Faugere/L'Equipe)
Le futur vainqueur, le Belge Jelle Wallays, mène grand train dans le final de l'épreuve sur l'un des neuf chemins de vigne du tracé. (F.Faugere/L'Equipe)

Paris-Tours, une course toujours en quête d'identité

Pour sa deuxième année avec un final à travers des chemins de vignes, le légendaire Paris-Tours a toujours du mal à trouver ses adeptes. Il faudra se montrer patient pour fidéliser le public.

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L'an dernier, Patrick Lefévère, manager de l'équipe Deceuninck-Quick Step, avait menacé de ne plus envoyer son équipe sur Paris-Tours en estimant que l'identité de la course venait d'être bafouée en raison d'un tracé final dessiné à travers des chemins de vignes (sur 10,7 km), inutiles à ses yeux. Le technicien belge a tenu parole et n'a pas envoyé dimanche son équipe se « ridiculiser » sur les chemins empierrés de Touraine.

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